Rapport Saint Girons : renforcer l’orientation active. Pour une transition réussie du lycée vers l’enseignement supérieur
Renforcer l’orientation active
Pour une transition réussie du lycée vers l’enseignement supérieur
Engagée à titre expérimental en 2006-2007 à la suite du débat «Université- Emploi » et du rapport Hetzel, inscrite dans la loi du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités, dont l’article 20 dispose que « tout candidat est libre de s’inscrire dans l’établissement de son choix sous réserve d’avoir (…) sollicité une pré- inscription lui permettant de bénéficier du dispositif d’information et d’orientation dudit établissement (…) établi en concertation avec les lycées », généralisée enfin depuis la rentrée 2008 à l’ensemble des formations universitaires, l’orientation active constitue un nouveau droit offert aux lycéens.
Leadership et compétences émotionnelles dans l’accompagnement au changement
Leadership et compétences émotionnelles
Dans l’accompagnement au changement
ColleCtion ÉduCation-intervention
Sous la direction de
Bénédicte Gendron Louise Lafortune
Propositions du COE sur l’orientation scolaire et professionnelle des jeunes
Introduction
A la suite de ses travaux sur la sécurisation des parcours professionnels et sur la formation professionnelle, le Conseil d’orientation pour l’emploi a choisi de s’intéresser à la question de l’orientation des jeunes. Même si ce sujet a fait l’objet de nombreux rapports, c’est la première fois que l’orientation scolaire et professionnelle des jeunes est abordée par une institution traitant explicitement de l’emploi. Et cela alors que les difficultés d’insertion professionnelle de beaucoup de jeunes trouvent en partie leur origine dans une orientation qui tient insuffisamment compte des talents, des aspirations des jeunes comme des débouchés professionnels des études suivies.
Rapport Philip : quels nouveaux partenariats universités/grandes écoles ?
Extrait
Opposer Universités et grandes Ecoles est classique quand il s’agit de présenter le système d’enseignement supérieur français. Ce dernier est caractérisé par cette dichotomie née de l’histoire. Rien ne sert de revenir sur le pourquoi. Il est en revanche essentiel, au moment où le Président de la République fait de l’enseignement supérieur une priorité de son action au cours de son quinquennat, de nous interroger sur les évolutions à conduire pour que formation, innovation et recherche constituent les leviers d’une nouvelle croissance.